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03 septembre 2002 |
Au secours "minime" reviens
Miracle ! le gracié présidentiel, expurgé de ses péchés par JC en personne, Maxime Gremetz reviens à la charge :
Question du Courrier Picard : Quelles vont être vos priorités pour la
rentrée ?
Réponse de mG :
Ma priorité ? se sont les projets gouvernementaux ! ils sont extrêmement
grave pour les salariés, ...... Il y a également les crédits pour les
transports qui sont diminués, notamment pour le TGV. Le troisième aéroport
est reporté. ...
Question du Courrier Picard :
Quel va être la rentrée du conseiller municipal d'Amiens que vous êtes
aussi ?
Réponse de mG :
Au plan local, je vais mener trois grandes actions. Une
en faveur du troisième aéroport. Une autre pour le passage du TGV à Amiens.
Des affiches et une campagne de pétitions sont en préparation. ....
En fait minime a trouvé la solution :
faire passer le TGV à Amiens par une ligne nouvelle donc pas saturée.
Reste plus qu'à construire le 3ème aéroport à Amiens à coté de la
nouvelle gare de TGV et le tour est joué.
Il y a un hic ? ben oui Amiens, c'est aussi une partie de la
circonscription électorale du député minime.. C'est tellement plus
simple d'être pour les nuisances chez les autres.
Au fait ?
JC Gayssot a-t-il averti minime que les élections étaient finies et
qu'il n'y avait plus lieu de continuer la démagogie qui consistait à
promettre que la construction d'un 3ème aéroport à 120 km de Paris dans 20
ans allait réduire dès demain les nuisances subies par les riverains d'Orly
et de Roissy, par ailleurs électeurs dans les circonscriptions de la Banlieue
parisienne ?
Cela lui éviterai de gesticuler pour rien.
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26 juillet 2002 |
Robien met en stand-by le
troisième aéroport
Le ministre annonce des mesures pour Orly et Roissy.
Troisième aéroport : le
gouvernement reprend le dossier à zéro
source : libération et les échos
Robien met en stand-by le
troisième aéroport
Le ministre annonce des mesures pour Orly et Roissy. (Par
Tonino SERAFINI)
Longtemps confiné à la seule région parisienne, le
débat sur le troisième aéroport va être élargi aux
représentants de tout l'Hexagone.
La page d'un troisième aéroport dans le bassin parisien
sur le site de Chaulnes (Somme), décidé par le
gouvernement Jospin, est définitivement tournée. Hier, le
ministre des Transports, Gilles de Robien, a indiqué qu'il
avait «demandé cette semaine au préfet de région de
Picardie» d'abroger l'arrêté qui bloquait toute
construction nouvelle dans un périmètre comprenant 24
communes, là où devait prendre place la plate-forme
mort-née. Dès sa prise de fonctions dans le gouvernement,
Gilles de Robien avait annoncé son intention de remettre à
plat cet épineux dossier : élus et associations de
riverains d'Orly et de Roissy faisant pression pour obtenir
la construction d'un nouvel aéroport pour réduire le
trafic aérien et les nuisances à proximité de chez eux.
Mais un tel projet était contesté par des associations
comme les Amis de la Terre ou France nature environnement,
car il s'inscrit contre les engagements internationaux de
Rio sur le développement durable. Hostilité aussi du
côté de nombreux députés et maires de grandes villes de
province. Un troisième aéroport dans le bassin parisien
étant jugé contraire à un aménagement harmonieux du
territoire. Ainsi le maire de Lyon, Gérard Collomb (PS),
mène depuis longtemps une intense campagne en faveur du
développement des grands aéroports de province,
alternative à l'hypertrophie des plates-formes parisiennes.
Trouvaille. Le ministre des Transports semble avoir repris
la balle au bond, en proposant à l'Assemblée nationale de
se saisir de ce dossier dans le cadre de ses commissions. «Elle
pourra ainsi débattre, dans la transparence et le
pluralisme, de l'avenir du transport aérien français et de
notre politique aéroportuaire.» Longtemps confiné à
la seule région parisienne, le débat va ainsi être
élargi aux représentants de tout l'Hexagone. Logique au vu
des coûts d'une telle infrastructure (8 milliards d'euros)
qui sollicitera l'ensemble des contribuables. Pour le
gouvernement, c'est aussi une jolie trouvaille pour se tirer
d'un mauvais pas. Aux députés donc de trancher la
question, entre partisans et opposants au troisième
aéroport. Si l'Assemblée décidait que la construction
d'une nouvelle plate-forme à proximité de Paris est
nécessaire, «la recherche et le choix éventuel d'un
site resteront de la responsabilité du gouvernement», a
néanmoins indiqué hier le ministre des Transports.
Tous les soucis ne sont donc pas écartés. En attendant,
pour faire passer la pilule de l'abandon du projet de
Chaulnes, Gilles de Robien a annoncé hier une série de
mesures pour soulager les riverains des aéroports
parisiens. Tout d'abord, le couvre-feu instauré à Orly qui
interdit tout vol entre 23 h 30 et 6 heures du matin est
maintenu. De même, le nombre de mouvements d'avion reste
limité à 250 000 par an. Pour Roissy, des mesures
nouvelles sont prises : elles prévoient pêle-mêle une
réduction des mouvements aériens entre minuit et 5 heures
du matin, une utilisation plus adaptée des pistes
permettant de minimiser le survol nocturne des zones
d'habitat, ou encore l'élargissement du périmètre de
gêne sonore (PGS) qui devrait quasiment doubler de
superficie. Le PGS permet aux propriétaires de logements
d'obtenir des aides substantielles pour insonoriser leur
habitat.
Vols de nuit. Selon le ministre, la compagnie Air France «s'est
engagée à supprimer d'ici 2003 la quasi-totalité de ses
vols nocturnes». Mais, à Roissy, c'est surtout les
avions de fret qui perturbent le sommeil des riverains. La
Poste sera donc mise à contribution : elle devra réduire
de 30 % ses vols de courrier. En revanche, la compagnie
américaine Federal Express, aussi très présente sur le
site, n'a consenti aucun effort. Tout juste s'est-elle
engagée à utiliser des avions moins bruyants.
Troisième aéroport : le
gouvernement reprend le dossier à zéro
Gilles de Robien reprend à zéro le dossier du
troisième aéroport. Le ministre de l'Equipement, des
Transports, du Logement, du Tourisme et de la Mer a annoncé
hier qu'il confiait à l'Assemblée nationale le soin de
débattre de l'opportunité d'une nouvelle plate-forme
aéroportuaire pour la desserte de l'ile-de-France.
Président de la Commission de la production et des
échanges à l'Assemblée, le député (UMP) Patrick Ollier
proposera mardi, ou mercredi au plus tard, de créer une
mission. Le ministre attend des parlementaires «un débat
dans la transparence et le
pluralisme sur l'avenir du transport
aérien français et de la
politique aéroportuaire ». S'il se
concluait par la nécessité
d'un troisième aéroport et si le gouvernement se rangeait
à cet avis, « l'exécutif devrait alors
choisir un site », a précisé
Gilles de Robien, qui a demandé, en attendant, au préfet
de la Somme de lever son arrêté de réservation de
périmètre sur les communes concernées par le projet de
Chaulnes, choisi en novembre dernier par le gouvernement
Jospin.
Roissy plus calme la nuit
Ce dossier provisoirement écarté, le ministre a annoncé
des mesures « de court et moyen
termes » contre les nuisances sonores autour
des plates-formes parisiennes. A Orly, le couvre-feu est
maintenu la nuit ainsi que la limitation réglementaire du
trafic à 250.000 mouvements d'avions par an. A Roissy,
l'engagement, politique et non réglementaire, de
Jean-Claude Gayssot, son prédécesseur, de plafonner le
trafic à 55 millions de passagers par an est abandonné. «
Ce ne sont pas les voyageurs
qui font du bruit, mais les
avions », résume le ministre, qui propose «
de plafonner le bruit »
en tenant compte d'un nouvel indicateur global de gêne
sonore basé sur des bruits mesurés au sol. L'aéroport ne
pourra pas générer un bruit supérieur à « la
valeur moyenne atteinte au cours
des trois dernières années ».
La plate-forme, qui peut accueillir 80 millions de
passagers, n'est donc plus bridée dans sa croissance, sous
réserve, la nuance est de taille, que les riverains n'en
pâtissent pas. En échange de cette nouvelle approche,
encadrée par des mesures réglementaires et financières
dissuasives à l'encontre des compagnies aériennes
utilisant encore des avions trop bruyants et par des
procédures de navigation aérienne minimisant la gêne des
riverains, Aéroports de Paris va devoir limiter fortement
le trafic nocturne à Roissy. Entre 0 et 5 heures, le
ministère veut diminuer de 20 % les mouvements d'avions
d'ici à 2003. A cette date, Air France devra supprimer la
quasi-totalité de ses vols dans cette plage horaire et La
Poste, les réduire de 30 %.L'intégrateur américain
Fédéral Express, gros employeur à Roissy, ne subira pas
en revanche de contraintes autres que celles imposées à
toutes les compagnies. Entre 0 et 5 heures, les créneaux
horaires abandonnés par les exploitants ne seront pas
réaffectés. Sauf exception, les décollages dont l'horaire
prévu étaient programmé en dehors de cette tranche
nocturne seront interdits.
Gilles de Robien a aussi annoncé la création d'un
observatoire du bruit aérien réunissant élus,
associations et professionnels, un quasi-doublement des
zones concernées par le droit à une aide pour
l'insonorisation des logements, et le lancement d'une
mission de réflexion pour un partage plus équitable entre
les collectivités locales des richesses générées par un
aéroport.
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18 juin 2002 |
Les lobbysmes en marche :
Air France veut résister auTGV Sud-Est
source : Yahoo Finances du 13 juin 2002
Au moment où la SNCF fête le premier anniversaire du prolongement de la ligne TGV jusqu'à Marseille, la compagnie aérienne nationale Air France ne s'avoue pas vaincue. «Le TGV est, sur le marché domestique français, le concurrent le plus redoutable d'Air France sur les liaisons point-à-point», reconnait-t-on chez Air France. «A moins de 2 heures de temps de parcours en effet, le train est le moyen de transport préféré des passagers. Entre 2 et 3 heures, 20 à 40% des clients choisissent l'avion. Au-delà de 3h30, la majorité d'entre eux optent pour l'aérien. Sur Paris- Marseille, où le temps de parcours en TGV est de 3 heures au mieux depuis le mois de juin 2001, l'aérien a subi une baisse de trafic de 27%, avec une part de marché de 40 %, conformément aux prévisions de la compagnie. L'impact du TGV Méditerranée est également sensible sur les dessertes d'Avignon et de Montpellier». Air France s'est donc organisée en redéployant son réseau sud-est sur Toulon et Montpellier et en proposant des réductions. «La compagnie a réussi à le faire sur Paris-Bordeaux, où le temps de parcours en TGV est également de 3 heures», si bien que son trafic «sur cette ligne a augmenté de 2,7% par rapport à 1999 et de + 4,1% en 2001 par rapport à l'année précédente».Sur le Sud Est de la France, Air France se bat sur les fréquences et les temps de trajet. La compagnie propose 28 vols quotidiens entre Paris et Marseille, (21 au départ d'Orly et 7 au départ de Roissy). «La SNCF propose jusqu'à 18 TGV quotidiens Gare de Lyon - Marseille, dont 4 seulement effectuent le trajet en 3 heures», insiste-t-on chez Air France où on a décidé de maintenir la quasi totalité des fréquences Orly-Marseille et l'intégralité du programme sur les autres lignes.
Franciliens,
quand on vous dit que les nuisances que vous subissez ne sont pas par
nécessité, mais uniquement à cause d'une stratégie commerciale débile
d'Air France qui qualifie la SNCF comme son principal concurrent contre
lequel elle se bat comme un chiffonnier, plutôt que de réagir en tant
que service public sur le marché francais et de garder ses forces pour se
battre concurrentiellement sur le marché Européen et Mondial.
Combien de Paris-Marseille, Paris-Bordeaux, Paris-Londre, Paris-Nice au
trois-quart vide au dessus de vos tête et de vos oreilles ?? - pour quelle
nécessité ?? - au bénéfice de qui ??
Mais ne vous inquiétez-pas, vous aurait-dit M. Gayssot, un troisième
aéroport opérationnel dans 20 ans, sorti de mon chapeau de prestigitateur,
vous aurait, comme par miracle, évacué toutes ces nuisances du dessus de vos
têtes, immédiatement, tout de suite, maintenant.
... et circulez, il n'y a rien à voir !
Étonnant, non ?
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18 juin 2002 |
Les lobbysmes en marche :
FedEx défend son implantation à Roissy
sources : Yahoo Finances du 12 juin 2002
Le groupe américain de transport express FedEx vient de rappeler publiquement à Paris que son hub de Roissy Charles de Gaulle joue un rôle majeur dans son organisation mondiale. Alors que certains candidats aux élections auraient bien vu cette installation inaugurée il y a moins de trois ans déménager en rase campagne, à Vatry, les dirigeants pour l'Europe de FedEx rappellent les raisons qui ont motivé leur choix :
Implantation au coeur de l'une des premières régions économiques européennes, possibilité d'exercer leur activité 24 heures sur 24, connexion avec les vols passagers (et notamment le réseau Air France) pour desservir les villes secondaires, liaisons routières et ferroviaires et relations constructives avec le gouvernement français et les administrations. En clair, même si le gouvernement français a très largement abondé aux 220 millions d'euros investis dans sa plateforme de Roissy, FedEx n'a pas l'intention de faire les frais des campagnes électorales locales et des promesses inconsidérées aux riverains qu'elles ont entraîné. Une plate-forme FedEx en France ne se justifie qu'adossée au marché de la région parisienne et à l'aéroport qui permet de l'intégrer dans les flux mondiaux de l'intégrateur.D.MA
Où l'on a la désagréable impression que FedEx se
comporte comme le roi du pétrole maître chez lui dans une colonie lointaine
qui est la France.
Où l'on a aussi la désagréable sensation qu'un gouvernement Français,
réagissant en colonisé, n'a pas eu la force de résister et a
"craché" pas loin de 220 millions d'euros sortis de la poche des
contribuables, a donné le droit éhonté à une société privée de
faire du bruit 24h sur 24, a sacrifié la tranquillité et la santé des
franciliens, tout cela sans concertation, pour le plus grand
bénéfice d'une société privée américaine, avec comme seule
contrepartie la création de quelques centaines d'emplois non qualifiés en
région parisienne
Chapeau bas, Messieurs, ce fut du bon travail !
Puis, le ministre des transports de cet ancien gouvernement vous aurait
enlevé toutes vos nuisances d'un seul coup de baguette magique, en
construisant un troisième aéroport, dans 20 ans et à 120 Km de là....
En fait un véritable artiste méconnu ce feu Gayssot !!
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26 mai 2002 |
La manifestation du 25 mai
à Amiens organisée par Sana Terra
Départ de la Maison de la Culture
En chemin ...
y-avait les tracteurs
Re en chemin ....
Le podium mail Albert 1er
....
le groupe picard Ach'teur et un jeune groupe parisien
tous venus bénévolement.
(tous les intervenants bientôt sur le site sanaterra.free.fr ...)
En bref , du beau temps,
du monde (pas loin de 3 000)
du temps de parole pour tous sans exception
la réussite quoi ! merci à Ivan Evrard (à droite) et Raphaël Poupard
(l'homme à l'écharpe tricolore) pour l'organisation
(photo de la délégation Sana Terra se rendant à la mairie d'Amiens)
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7 mai 2002 |
La victoire au bout du chemin ??
Aujourd'hui le nouveau gouvernement vient d'être annoncé. La situation n'a jamais paru aussi favorable :
Gilles de Robien, maire d'Amiens, qui était en tête des dernières manifestations contre le troisième aéroport et qui avait déclaré en fin d'année 2001 à FR3 Picardie, que "si les Picards ne voulaient pas de troisième aéroport, ils n'avaient qu'à changer de gouvernement et qu'il ferait tout ce qui est en son pouvoir pour que ce projet soit revu" se retrouve aujourd'hui Ministre (entre autre) des Transports !!
Avec lui, un secrétaire d'état aux transports, Dominique
Busserau, bon
connaisseur des dossiers transports et dont j'avais relaté sur ce même site,
une interview parrue dans "les échos" du 16 et 17 novembre 2001.
D.
Busserau y disait, entre autre :
"Ce que je critique, c'est le
principe du troisième aéroport. Je considère que c'est une fuite en avant
liée à des promesses inconsidérées du J.C. Gayssot à propos du plafond des
55 millions de passagers à Roissy. ...
Évidemment, il y a un problème avec les riverains de Roissy et d'Orly qu'il
faut traiter. ... Et c'est naturellement vers les plates-formes de
province qu'il faut se tourner avant d'envisager de créer une nouvelle
infrastructure aéroportuaire, sachant qu'Air France ne pourra pas développer
deux <<hubs>> différents à proximité de l'Ile-de-France.
... On peut déjà considérer qu'il y a déjà des <<troisièmes
aéroports>> en région parisienne. On a Vatry et Châteauroux pour le
fret, Beauvais pour les Charters, Lille-Lesquin à une heure de Paris par TGV
qui n'est pas sur-utilisé.
On a déjà, à proximité de Paris un ensemble de plates-formes qui, en harmonisant
leurs moyens, peuvent constituer un troisième aéroport. ...
.. Bref, tout cela me parait de la gabegie sur le plan financier. C'est une fuite en avant du gouvernement. C'est une façon de passer la patate chaude au successeur .... "
Et bien devinez qui est le successeur dont il parle et qui se retrouve
aujourd'hui
avec la "patate chaude"
J'avais mis à l'époque ce commentaire personnel " Je ne suis apparenté à aucun parti, ni DL, ni vert, ni rouge, ni jaune, ni bleu ... Mais ce Dominique Bussereau me parait un homme sain et compétent. Gageons qu'il ai été élevé à la campagne avec un grand bon sens "paysan" !!"
(cliquez pour voir l'article des Echos en pdf).
Alors .... la victoire au bout du chemin ??
Encore faudrait-il que ce gouvernement ne soit pas éphémère, qu'il survive au résultat des législatives, et que si la droite l'emporte, il traite ce dossier avec célérité !
Alors, si nous voulons vraiment envoyer ce projet de troisième aéroport loin dans les airs et qu'il ne retombe plus jamais, c'est le moment propice , il ne faut pas baisser la garde, bien au contraire, il nous faut nous mobiliser et être vraiment, vraiment, vraiment très nombreux à Amiens à la grande manifestation du 25 mai dans le but d'une "amicale pression" auprès de Gilles de Robien et ses collègues du gouvernement !!
Voir l'affiche de la manifestation du 25 mai sur le site de Sana Terra.
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28 avril 2002 |
Les différentes actions du 27 Avril
la manifestation à Fouquescourt
Malgré la pluie, le vent et les
manifestations pour d'autres causes en Picardie, 800 opposants au troisième
aéroport "parisien" et inutile se sont rassemblés à Fouquescourt
à l'initiative, entre-autres, de l'ACAS.
On pouvait noter la présence de banderoles de l'association
"j'aime la Picardie", des jeunes agriculteurs, de l'ACAST
(association de l'Aisne), d'une délégation des habitants de Beauvilliers (où le troisième aéroport devait être construit et où
le projet a été abandonné grâce à l'opiniâtré et la ténacité de
ces habitants) et de Sana Terra.
Jean-Paul Dongny, président de l'ACAS a appelé à rester mobilisé
pour la manifestation géante du 25 mai organisée par Sana Terra.
Les missionnaires de Sana
Terra
En complémentarité avec la mobilisation de
Fouquescourt les membres de Sana Terra sont partis en quatre délégations
vers Toulouse, Nantes, Lyon et Marseille. Cette démarche consistait à
rencontrer tous ceux qui ont des projets de développement de leurs aéroports
régionaux, projets qui risqueraient d'être brisé par l'implantation d'un
troisième aéroport "parisien" dans le Santerre.
Cette mission représente la première étape "prise de contact"
d'une contre-expertise que Sana Terra va lancer et
qui sera déposée, dans les mois qui viennent sur le bureau de l'assemblée
nationale
Les missions ont été très bien reçues dans
chaque région où les élus locaux, intéressés, ont salué cette démarche
pertinente qui pose la question suivante :
"En ce qui concerne l'aménagement du territoire,
n'y a t-il pas mieux à faire que de tout centraliser sur Paris "
.
D'autres informations sur cette démarche nationale dans les jours qui
viennent sur le site http://Sanaterra.free.fr.
Les opposants remobilisés (article du Figaro 27/04)
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17 avril 2002 |
Brèves
L’ACAS (association contre l’aéroport dans
le Santerre) a tenu son assemblée générale le 15 avril.
L’ACAS rejoindra peut-être Sana Terra. (le Courrier Picard).
Lors de cette assemblée générale, il a été décidé que ses membres seraient appelés à se prononcer, selon des modalités de vote par correspondance, pour ou contre le ralliement à Sana Terra.
Plus de 150 personnes étaient présente à cette assemblée générale.
A l’ordre du jour:
Rapport d’activités depuis l’assemblée générale du 9 novembre 2001
Organisation du rassemblement du 27 avril 2002.
Lors de cette réunion, Jean-Jacques Objois, vice-président de la chambre d’Agriculture, ainsi que Jacques de Villeneuve, tous deux membres de Sana Terra ont souhaité que l’ACAS trouve sa place au sein de Sana Terra afin de créer une unité réelle contre l’aéroport et comme l'a précisé un membre de l’association " pour passer au delà des clivages politiques, pour défendre notre région".
Un rassemblement des opposants au troisième aéroport inutile est programmé pour le 27 avril à Fouquescourt.
Des cortèges partiront, à 14h30 de Méharicourt, Maucourt, Chilly, Hattencourt, La Chavatte, Parvillers et Rouvroy-en-Santerre tous convergeront vers Fouquescourt.
Réunions de Ham et Villers
Bretonneux (le 12 avril)
150 personnes à Ham , 200 à Villers Bretonneux.
Un public toujours attentif et de nombreuses questions toujours aussi
pertinentes. Ces deux réunions clôturaient le premier cycle de
réunions publiques programmées.